vendredi 7 octobre 2011

Nasce Tvt, prima impresa ferroviaria privata a operare in Francia nel trasporto passeggeri

Il Sole 24 Ore del 6 ottobre 2011


Il ministero dei Trasporti francese ha rilasciato la licenza a Trenitalia Veolia Transdev (Tvt), che diventa la prima impresa ferroviaria privata autorizzata a operare in Francia nel trasporto passeggeri. La nuova società ferroviaria è nata dalla partnership siglata il 19 gennaio 2011 fra la società di trasporto del Gruppo Fs Italiane e Veolia Transdev. Il ministero francese dei Trasporti ha rilasciato la licenza di Impresa ferroviaria a Tvt il 30 settembre scorso.


Tvt lancia subito Thello, un nuovo servizio sulla rotta notturna Parigi -Milano-Venezia, che inizierà a circolare dall'11 dicembre prossimo (i biglietti saranno in vendita, a partire da 35 euro, già da oggi 6 ottobre). Thello, spiega un comunicato di Fs, «punta a sfidare la concorrenza dell'aereo facendo leva sulla convenienza, sul comfort, sulla qualità dei servizi, sulla comodità di partire e arrivare in centro città». Dalla centralissima Gare de Lyon a Milano Centrale fino a Venezia Santa Lucia, dalla Torre Eiffel al Canal Grande, dormendo in treno, riposando e risparmiando sul pernottamento in albergo. Dal 17 sarà disponibile anche un sito dedicato www.thello.com. I treni giornalieri fermeranno nelle stazioni di Parigi, Digione, Milano, Brescia, Verona, Vicenza, Padova e Venezia (Mestre e Santa Lucia).

mardi 6 septembre 2011

LGV Paca : 1 tracé, 4 scénarios



Article Nice-Matin du 6 septembre 2011










Que vous soyez plutôt TGV ou plutôt TER, que 2023 vous paraisse très loin ou au contraire déjà demain, que vous craigniez de voir passer un train dans votre jardin ou que vous vous en moquiez, vous avez tout intérêt, mercredi 14 septembre, à occuper vers 19 heures l'un des quatre cents à cinq cents sièges dressés par Réseau Ferré de France (RFF) au casino des palmiers d'Hyères.
Rebelote le jeudi 15 septembre, même heure, au palais Acropolis de Nice.
Deux ou trois heures durant, vous pourrez tout dire et tout demander à propos de la future ligne à grande vitesse dite PACA. Pour gagner du temps, voici un premier jeu de questions-réponses.



L'objectif a-t-il changé ?




Non. Il s'agit de relier Nice à Paris en quatre heures (contre cinq heures trente) et à Marseille en une heure (contre deux heures trente). Selon le scénario retenu, ce trajet idéal pourrait varier de quelques minutes.
Mais ce n'est pas tout. La ligne à grande vitesse n'est que la cerise sur un gâteau plus gros : la refonte totale du système de transport ferroviaire dans une région qui passera de 40 à 110 millions de voyageurs par an en… 2040.
En résumé, davantage de trains régionaux, plus rapides et des connexions établies avec les réseaux à grande vitesse italiens et espagnols.




Est-il temps de choisir le tracé ?




Non. Il n'est question que de « scénarios », chacun d'entre eux débouchant sur plusieurs « fuseaux » d'un kilomètre de large. Entre les réunions publiques et les rendez-vous tenus par les différents groupes de travail, une grosse quarantaine de réunions se tiendront dans les Alpes-Maritimes, le Var et les Bouches-du-Rhône d'ici la fin de l'année.
S'il est pour l'instant impossible de savoir où seront posés les rails, il faut d'ores et déjà choisir l'emplacement des gares.




Dans le Var, plutôt Toulon-centre, plutôt vers à l'ouest de la ville, plutôt à l'est ?




Dans les Alpes-Maritimes, si le principe d'une gare nouvelle à l'ouest du département est acquis, faut-il prévoir un raccordement vers Cannes ? Ou un tunnel sous Nice ? Pourquoi pas les deux ? Officiellement, rien n'est impossible.




Qui va décider ?




Au printemps 2012, les techniciens de RFF auront transmis au ministre des Transports le dossier technique sur le fuseau qui aura réuni en décembre, au mieux, le consensus général, au pire, le maximum de partisans.
Ce sera à Thierry Mariani, ministre des Transports de le valider… à moins qu'il décide plus sagement d'attendre le résultat de la présidentielle. Ce sera alors à son successeur de décider. Si ce successeur boucle le dossier avant fin septembre, le calendrier sera respecté.






Et après ?




Le tracé peut être modifié dans le détail jusqu'en… 2018. Mais dès la fin de l'enquête d'utilité publique, on devrait en avoir une idée précise en 2015. D'ici là, il reste du temps, près de deux ans, pour ajouter une grosse couche d'études et de rapports afin de pouvoir soumettre lors de cette enquête, un fuseau de 500 mètres de large au cœur duquel les intérêts particuliers de chaque riverain seront âprement discutés.
Le temps des travaux n'est prévu qu'en 2017 pour une mise en service en 2023. Même une fois le chantier démarré, RFF assure qu'il sera toujours temps de procéder à de menus aménagements en fonction des difficultés rencontrées sur le terrain.




Est-il utile de participer ?




Bien sûr, RFF a besoin d'une foule de participants pour pouvoir claironner un jour que le projet final a fait l'objet d'une vaste concertation. Mieux vaut, de toute façon, saisir la perche qui est tendue : les plus motivés pourront s'inscrire dans l'un des dix groupes de travail géographiques répartis sur les 230 kilomètres de voies, dont trois dans le Var et quatre dans les Alpes-Maritimes. Fin novembre, de nouvelles réunions publiques rendront compte de leur travail.




Qui va payer ?




Dans un merveilleux jargon technocratique, une mission financière qui accompagne le projet a estimé qu'il ne se situait pas « dans une logique d'infinançabilité ». En clair, la fourchette de 15,9 à 18,8 milliards nécessaires pour tracer la LGV et rénover le réseau secondaire est finançable. Mais il est trop tôt pour savoir qui paiera.
On sait en revanche que les diverses études coûtent 86 millions, partagées entre les collectivités locales, l'État, RFF et l'Europe.






lundi 25 juillet 2011

Via libera UE alla società Trenitalia – Veolia

La Commissione Europea ha concluso che l’operazione proposta non dà luogo a problemi sotto il profilo della concorrenza. Nasce un nuovo player sul mercato ferroviario europeo, pronto a competere sui mercati internazionali sia nell’Alta Velocità che nei servizi passeggeri di lunga distanza, transfrontalieri e regionali
Roma, 20 luglio 2011

La Commissione europea ha dato il via libera alla creazione della società comune per la prestazione di servizi di trasporto ferroviario internazionale di passeggeri tra Trenitalia e l’operatore privato francese Veolia Transport. La Commissione ha concluso che l’operazione proposta non dà luogo a problemi sotto il profilo della concorrenza, in particolare perché Veolia Transport è un nuovo operatore sui mercati interessati.

Nasce così un nuovo player sul mercato ferroviario europeo, pronto a competere sui mercati internazionali sia nell’Alta Velocità che nei servizi passeggeri di lunga distanza, transfrontalieri e regionali. La Newco, il cui brand verrà reso pubblico dopo l’estate, sarà una società per azioni di diritto francese con sede a Parigi e inizierà a svolgere la propria attività con servizi notturni sulle rotte Parigi - Venezia e Parigi - Roma dal prossimo mese di dicembre.

La nuova società prevede di avviare nel medio periodo i servizi su linea Alta Velocità tra Parigi e Bruxelles e tra Parigi e Milano, inoltre sta valutando l’opportunità di avviare propri servizi su linea convenzionale tra Torino e Lione, e la partecipazione a gare per i servizi ferroviari in Europa, in particolare in Gran Bretagna.

Nei prossimi giorni la nuova società formalizzerà le proprie strutture di governance e darà inizio alle attività che consentiranno l’avvio delle commercializzazione dei propri servizi a partire dal mese di ottobre.


Fonte: www.trenitalia.com

jeudi 10 février 2011

L’épi de Ventimiglia, caractéristiques de la ligne (1/2)



L’épi de Ventimiglia désigne une portion de voie qui relie la ligne du littoral Menton - Ventimiglia à la plate-forme ferroviaire de la Roya sans passer par la gare de Ventimiglia.
Il s’agit d’une voie unique électrifiée en 1500 volts, conformément aux spécificités de la zone frontière qui permet aux motrices françaises bi-courants et aux motrices italiennes à moitié de leur puissance de circuler. La ligne est intégralement située en territoire italien et sous responsabilité de RFI.
La ligne de l’épi croise la ligne Ventimiglia – Breil-sur-Roya sans possibilité de passer d’une ligne à une autre car il n’y a pas d’aiguillage. Une situation aberrante qui s’explique par la volonté de laisser la gare de Ventimiglia comme point de passage obligatoire pour les trains venant de Breil-sur-Roya et ainsi renforcer l’importance de la gare. A contrario, un aiguillage aurait permis aux trains de relier directement Menton en évitant Ventimiglia. On peut également noter que les trains en provenance de Breil-sur-Roya ne peuvent pas rejoindre directement la plate-forme ferroviaire de la Roya.

L’épi de Ventimiglia est une portion de ligne quasiment inconnue et pour cause, elle n’est utilisée que par les trains de marchandises. Le parc ferroviaire de la Roya a été conçu comme gare de marchandise avec accès direct à l’autoroute pour connecter le rail et la route, mais également pour redimensionner les trains de marchandises en provenance et à destination de la France. En effet, ces convois de fret doivent être reconditionnés en convoi d’une longueur plus modeste afin de pouvoir circuler en Ligurie dans les portions à voie unique composées de voies d’évitement aux longueurs réduites. Cette contrainte est une des causes du faible trafic de trains de marchandises sur cet axe, dans l’attente de l’achèvement de la nouvelle ligne à double voie.

Au départ de Ventimiglia, une ligne à double voie électrifiée en 1500V dessert le parc ferroviaire, la ligne se poursuit ensuite en voie unique non électrifiée vers Breil-sur-Roya et Cuneo.

Actuellement, la circulation sur l’épi de Ventimiglia est très réduite en raison de la faible circulation de trains de marchandises. Le parc ferroviaire est quand à lui sous-utilisé et le gestionnaire du réseau RFI souhaiterait s’en débarrasser en le vendant à la commune de Ventimiglia.

http://www.riviera24.it/articoli/2011/02/01/102670/aree-dismesse-delle-ferrovie-il-ministro-matteoli-sollecitera-le-ferrovie-per-la-vendita-del-parco

vendredi 28 janvier 2011

Vintimille en 25 minutes maximum grâce à la ligne 905

Article Nice-Matin du 27 janvier 2011.

Depuis le 3 janvier, la ligne reliant la Cité des citrons à Tende a un arrêtdans la ville italienne. Il suffit pour s’y rendre de dépenser... un euro symbolique !

Beaucoup l’attendaient et les Lignes d’Azur l’ont fait ! Depuis le 3 janvier, en effet, le bus 905 reliant Menton à Tende respecte un arrêt à Vintimille. Un trajet prévu en 25 minutes maximum et pour lequel les passagers n’ont à débourser qu’un euro symbolique ! Il s’agit, en tout cas, pour nombre d’entre eux, d’une vraie et efficace parade aux problèmes rencontrés - et jugés récurrents par ces derniers - par la SNCF. Comme la ligne 100 Nice-Menton l’avait déjà démontré... Il s’agissait, pour les usagers du TER, d’un bon moyen alors pour éviter les perturbations fréquentes lors des travaux dans le tunnel sous-terrain situé en Principauté.« On verra lorsque la circulation sera beaucoup plus dense »Certes, tout n’est pas parfait sur les routes reliant Menton à l’arrière-pays et à l’Italie. Mais hormis le vendredi, jour de marché à Vintimille, les autres transferts devraient se dérouler sur des chapeaux de roue : « Pour l’instant, il n’y a aucun problème, confirme ainsi Edouard Beltramo, chauffeur sur cette ligne. Même le vendredi, ça commence doucement. Mais c’est la mauvaise saison. On verra lorsque la circulation sera beaucoup plus dense à Menton... Toutefois, il faut surtout retenir que cette ligne représente vraiment une solution supplémentaire pour les passagers ».Lorsqu’on voit ces derniers grimper dans le bus valises en main - pour les étudiants qui remontent à leur domicile de l’arrière-pays après une semaine studieuse - ou les paniers remplis - pour ceux qui sont venus faire des emplettes dans la Cité des citrons - on a du mal à réaliser la nécessité d’un arrêt à Vintimille.« Des économies substantielles »Et pourtant... Sylvie Fleury, 46 ans, va très vite nous convaincre. Plus qu’une solution de repli, plus qu’un moyen de transport pour des touristes en visite, ce bus 905 est devenu « vital » pour elle. « L’ouverture de cette ligne a coïncidé avec mes débuts dans un emploi que j’ai trouvé à Vintimille... Je prends ce bus tous les jours et le côté pratique est essentiel. En plus, à ce prix, les économies réalisées sont substantielles. »Essayer, c’est l’adopter. Et à un tel point que ses jours de repos hebdomadaires, Sylvie emprunte également cette ligne : « Pour profiter des prix bas affichés au marché de Vintimille le vendredi, c’est aussi idéal. »Il reste désormais à attendre la période estivale et l’afflux des touristes désirant se rendre dans la cité italienne pour vraiment jauger cette ligne 905.Si le succès est grandissant, s’il est à la hauteur des espérances, pourquoi alors ne pas imaginer une ligne de bus ralliant Menton à San Remo le samedi notamment ?